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INTRODUCTION.
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XXXV
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François Lé Roux, qui épousa, le a 5 octobre i5-i6, Anne de Vaudetar, fille de Guillaume de Vaudetar, conseiller au Parlement (n° 2295); des conseillers au Châtelet, comme Nicolas Luillier, qui contracta mariage, le 12 juin 1552 , avec Charlotte de Livres, fille de Nicolas de Livres, seigneur de Ravenel, notaire et secrétaire du Roi, dont la dot se monta à 10,000 livres tournois (n° 4570); Germain du Val, marié, le 24août 15 51, avec Marie Brinon, fille de feu Michel Brinon, greffier de la Cour des Aides, qui avait un mobilier de 3,ooo livres tournois, sans compter ses bagues • et joyaux (n° 3918); un conseiller à la Cour des Aides, François Pajot, qui épousa, le 17 mai i5-ilt, Etiennette Le Coq, fille de feu Gérard Le Coq, maître des Requêtes de l'Hôtel (n° 3505); un général des Monnaies, Simon Raddin, marié, le 3o octobre 1551, avec Gabrielle de Bucourt, fille de feu Nicolas de Bucourt, seigneur de Saint-Martin-au-Tertre (n° âl 89); des maîtres des Requêtes de l'Hôtel, savoir: André Guillard, marié, le 8 juillet 1551, avec Marie Robertet, fille de feu Jean Robertet, secrétaire des finances, qui lui apporta en dot 18,000 livres tournois (n° 3956); Jean de Poncher, qui épousa, le i3 août 1553, Renée Lhuillier, fille du maître des Requêtes, Guillaume Lhuillier(n° /i938); un conseiller aux Eaux et Forêts, Pierre Papillon, fils du conseiller au Parlement, qui s'unit, le 10 janvier 15 li 3, avec Marie Prévost, fille de Jeau Prévost, greffier royal à Tours (n° 1295); enfin un élu en l'Election de Paris, Claude de Marle, qui épousa, le 20 juillet 1545, en présence du cardinal de Meudon, Antoinette Lhuillier, fille de feu Jean Lhuillier, conseiller au Parlement (n° 1852). On peut juger par cette énumération de l'utilité que peuvent offrir, au point de vue de l'histoire des vieilles familles de robe, tous ces contrats de Parlementaires pour compléter et rectifier sur bien des points les anciennes généalogies, si consultées, des premiers présidents, des présidents et.conseillers du Parlement, ét celles des maîtres des Requêtes de l'Hôtel.
Les contrats de mariage de la bourgeoisie parisienne, dans un tout autre ordre d'idées, ne sontpasmoins dignes d'intérêt, plusieurs d'entre eux nous montrent l'aisance qui régnait dans cette classe de la société. En effet, n'est-il pas curieux de voir la veuve d'un marchand, bourgeois de Paris, Genevieve Huot, qui, en se remariant, le 17 novembre 1 5 5 2, avec Jean
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